La comptabilité analytique
La comptabilité analytique consiste à reprendre les données de la comptabilité générale et les retravailler pour identifier et valoriser les éléments constitutifs du résultat de l’entreprise.
La comptabilité analytique consiste à reprendre les données de la comptabilité générale et les retravailler pour identifier et valoriser les éléments constitutifs du résultat de l’entreprise.
Pour les entreprises obligées de tenir une comptabilité régulière et générale deux systèmes sont prévus par la réglementation : la comptabilité d’engagement et la comptabilité de trésorerie.
Même si la tenue comptable est compliquée et nécessite de mandater un expert-comptable, lorsqu’elle est bien réalisée, c’est une véritable mine d’informations pour un dirigeant.
Le suivi de sa comptabilité est une obligation légale pour les entreprises et elle suit des règles strictes qui varient selon le régime fiscal de l’entreprise. Concrètement, comment se matérialise cette discipline ? Quelle différence entre comptabilité de trésorerie, d’engagement et analytique ?
Que vous soyez micro-entrepreneur ou chef d’entreprise, le sujet de la TVA arrivera sur la table. Dans la réalité, les particuliers sont les seuls à le payer. Pour les professionnels, c’est un impôt relativement neutre car ils ne sont que des collecteurs de taxe.
Si vous êtes chef d’entreprise de PME ou de TPE ou que vous vous lancez dans un projet entrepreneurial, il est important de comprendre les principes de base de la fiscalité des entreprises et ainsi connaître vos obligations comptables.
Lors de la création de son entreprise, un entrepreneur doit choisir un régime fiscal. Les choix à sa disposition sont classés en deux grandes catégories : d’un côté le régime micro-entreprise, et de l’autre les régimes réels d’imposition simplifié et normal.
Il est primordial de savoir que le choix du statut juridique à nécessairement une conséquence sur votre régime fiscal et donc sur l’imposition des bénéfices et sur la TVA. En premier lieu, il faut déterminer si vos activités entre dans la catégorie BIC ou BNC.
Entreprise individuelle, auto-entreprenariat, société ou entreprise… Le choix du statut de votre structure doit répondre à des critères bien précis. Pour cela, il faut bien définir en amont ses propres besoins, analyser son secteur d’activité et établir une stratégie à plusieurs temporalités.
Ce n’est jamais simple pour un entrepreneur, de devoir choisir ou changer de statut juridique pour son entreprise. En plus d’être complexe, ce choix entre les différents statuts d’entreprise possibles est primordial car il a un impact notamment sur la fiscalité, et donc les impôts et les taxes.